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Couscous : L’autre jour dans une ruelle, il y a un navigué qui cherchait l’embrouille. On s’est battu, à l’arme blanche. Appelle moi si…
Véro : Il est où ?
Couscous : Qui ça ?
Véro : Dégage !
Couscous : Non non c’est pas la peine, arrête !
Véro : Dégage !
Couscous : Non arrête, arrête, non fais pas ça !
Chantent : Et le champagne coulait à flots…
Anne : Tu en as bu un peu…
Bernard : Oui et toi, un peu trop…
Chantent : C’est comme ça…
Bernard : Hein !!! Véro, ça va ? Tu vas pas me croire on était, on était en train de répéter un… Bon, ok, j’ai une maîtresse, et alors ? On va pas en chier une pendule hein ! Tous les grands de ce monde ont une maîtresse hein : Bill Clinton, il a une maîtresse, Mick Jagger, il a une maîtresse, Napoléon, une maîtresse. Même Claude avait une maîtresse.
Véro : Pauvre con.
Bernard : Arrête Véro, c’est mesquin ce que t’es en train de dire. Mais qu’est ce que t’espérais ? Une petite vie étriquée avec un mari sans maîtresse ? Tu mérites mieux que ça mon ange. Non attend ! Véro ! Véro ! Attend ! Attend ! Véro ! Attend, laisse moi t’expliquer ! Véro ! Laisse moi t’expliquer ! C’est un mal entendu ! Véro, on s’en fout de cette fille, c’est une pétasse ! Véro, attend ! Mais c’est rien, c’est juste un petit coup de bite !
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Verbal Kint : On sait très peu de choses, peut-être qu’il est turc. D’après certains, sont père était allemand. Mais personne ne croit vraiment qu’il existe, car personne ne l’a jamais vu et jamais personne n’a bossé pour lui directement. A croire ce que Kobayashi disait, n’importe qui peut bosser pour Söze. On est jamais sûr. C’était tout son pouvoir. Le coup le plus rusé que le diable ait jamais réussi, ça été de faire croire à tout le monde qu’il n’existait pas.
Mais il y a une histoire qu’on m’a raconté, une histoire que moi je crois, qui s’est passé quand il était en Turquie. Il y avait une bande de hongrois qui voulaient leur propre organisation. Ils avaient pigé que pour prendre le pouvoir, il y avait pas besoin de flingue, ni de pognon, ni d’être nombreux, il suffit de la volonté d’oser faire ce que les gars d’en face n’oseront pas. Au bout d’un moment, ayant un peu établi leur réseau, ils s’en sont pris à Söze. Lui débutait à l’époque, il trafiquait de la dope à Ankara.
Les hongrois ont débarqué dans sa baraque l’après midi pour lui piquer son territoire. Ils n’ont trouvé que sa femme et ses gosses à la maison, ils ont décidé de l’attendre. En rentrant chez lui, Söze trouve sa femme violée et ses enfants hurlant de peur. Les hongrois savaient que c’était un dur, qu’il fallait pas rigoler avec lui. Ils lui ont montré qu’ils étaient pas là pour plaisanter. Ils lui ont dit qu’ils voulaient son territoire, et tout son business. Söze a regardé lentement les visages des membres de sa famille. Ensuite, il a montré à ces hommes volontaires ce que c’était la véritable volonté. Il leur a dit qu’il préférait voir toute sa famille morte à ses pieds plutôt que de céder à leur chantage. Il a laissé repartir le dernier hongrois.
Il a attendu que sa femme et ses enfants soient enterrés, alors il s’est occupé du reste de la bande. Il a buté leurs mômes, il a buté leurs femmes, il a buté leurs parents et les amis de leurs parents, il a foutu le feu à leurs baraques, et aux magasins où ils bossaient. Il a buté les mecs qui leur devaient du fric. Et là-dessus il s’est envolé…
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Buffalo Bill : C’est bon ça va, je viens.
Jack Crawford : Allez on y va.
Clarisse Starling : Euh, bonjour. Désolé de vous déranger, j’aimerais voir la famille de Madame Lipman.
Agent Intervention : On y va, allez en avant ! En avant ! En avant !
Buffalo Bill : Romy Lipman n’habite plus ici.
Clarisse Starling : Excusez-moi Monsieur, j’aimerais quand même vous parler.
Agents Intervention : Rien ! Rien !
Buffalo Bill : Il y a un problème ? Qu’est ce qu’il y a ?
Clarisse Starling : Eh bien je mène une enquête sur la mort de Frederika Biemel.
Agent spécial : Il n’y a personne Jack.
Jack Crawford : Clarisse !
Clarisse Starling : Vous vous appelez ?
Buffalo Bill : Jack Gordon.
Clarisse Starling : Monsieur Gordon. Euh, et bien Frederika travaillait pour Madame Lipman, vous la connaissiez ?
Buffalo Bill : Non, euh… Oh, une minute ! Oui c’était pas une fille plutôt obèse ?
Clarisse Starling : Elle était un peu forte oui.
Buffalo Bill : Ouai, j’ai dû la, j’ai dû lire ça dans, dans le camion. Bon, Madame Lipman a un fils, il pourra peut-être vous aider. Je, je crois que j’ai sa carte quelque part, en fait je vais aller la chercher
Clarisse Starling : Je peux ?
Buffalo Bill : Bien sûr.
Clarisse Starling : Merci.
Buffalo Bill : Vous croyez que vous êtes près d’arrêter le gars ?
Clarisse Starling : Oui, oui ça se pourrait bien. On dit que, que vous avez repris cette maison après la mort de Madame Lipman, est-ce que c’est vrai ?
Buffalo Bill : Oui, j’ai acheté la maison. Il y a déjà deux ans.
Clarisse Starling : Et vous n’avez pas trouvé des dossiers, des papiers d’affaires ou, des déclarations d’impôts, ou une liste des employés ?
Buffalo Bill : Non, non, rien de tout ça. Est-ce que le FBI a appris quelque chose ? Parce que la police du coin n’a pas le moindre indice. Je veux dire, vous, vous avez une description, des empreintes, des trucs comme ça ?
Clarisse Starling : Non. Malheureusement.
Buffalo Bill : Ah, voilà son numéro !
Clarisse Starling : Merci beaucoup monsieur Gordon. Est-ce que je pourrais téléphoner s’il vous plaît ?
Buffalo Bill : Bien sûr vous pouvez téléphoner.
Clarisse Starling : Pas un geste ! Les mains en l’air, tout de suite ! Tournez vous, écartez les jambes ! Plus vite que ça ! Main derrière le dos, pouce à l’extérieur ! Revenez ! Catherine Martin ?
Catherine Martin : Oui !
Clarisse Starling : FBI, vous êtes sauvée !
Catherine Martin : Sauvée ? Mais sortez moi d’ici !
Clarisse Starling : Vous ne risquez plus rien. Où est-il ?
Catherine Martin : Comment voulez-vous que je le sache !
Clarisse Starling : Catherine, arrêtez de hurler et faites taire ce chien !
Catherine Martin : Faites moi sortir d’ici !
Clarisse Starling : Catherine, je vais vous faire sortir de là, mais pour le moment écoutez moi : il faut que je vous laisse seule, mais je vais revenir !
Catherine Martin : Non ! Ne me laissez pas la seule, faites pas ça ! Non ! Ne me laissez pas ici ! Ce type est complètement givré ! Attendez ! Il faut que je sorte d’ici !
Clarisse Starling : Catherine ! Il y a d’autres policiers qui vont arriver d’une minute à l’autre
Catherine Martin : Attendez ! ne sortez pas !
Clarisse Starling : Chut ! Fermez la !
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OFF – George : Nous avions créé le marché. En fait, si vous avez sniffé de la coke fin des années 70 ou début des années 80, il y a 85% de chances que ça soit la notre…
George : Ca fait trois millions, j’ai compté deux fois.
Diego : Deux millions cinq, deux millions cinq, j’en suis sûr.
George : Je te dis trois.
Diego : Cinq cent mille de différence ?
George : Ouai.
Diego : Ouai…
George : Je recompte plus, j’en ai marre.
Diego : Pèse les.
George : Hein ?
Diego : Si il y a trente kilos, ça fait trois millions, si il y a vingt cinq, ça fait deux et demi.
George : Moi j’en ai ma claque, on s’en fout. Où je le pose ?
Diego : Euh… Ah essaye dans la chambre.
George : C’est plein.
Diego : Merde… Bah dans les toilettes !
George : Il nous faut plus de place.
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Ah !
Angela : Oh ! Mais qu’est-ce qui te prend enfin chéri, je vais avoir un bleu moi !
Cassidy : J’ai mal à la main tu comprends. Je l’ai pas fait exprès.
Angela : Oh excuse moi.
Les deux : Ah !
Matt : Toi, fous le camp.
Angela : Victor ! Victor !
Matt : Où est Rostov ?
Cassidy : Je sais pas ! Je sais pas où il est Rostov ! Y-a personne qui sait où le trouver.
Matt : Où est Rostov ?
Victor : Qu’est ce qui se passe ici ? Qu’est ce que c’est ce bordel ?
Cassidy : J’obéis aux ordres !
Victor : Toi tu vas voir ça !
Matt : Si tu te pointes encore, tu peux être sûr que tu repars avec la bite dans un tupperware !
Victor : Ah, au revoir alors.
Matt : Dis moi où aura lieu le prochain coup.
Angela : Victor, s’il te plait ! Dépêche toi, il a un grand couteau et il va le tuer ! Mais qu’est ce que tu fous nom de Dieu ! Tu veux un mort dans la baraque ? Allez, vite, on va le venger !
Victor : J’arrive, j’arrive, on va le virer, t’inquiètes pas !
Angela : Mais dépêchez vous !
Cassidy : Je sais rien mon vieux, et puis c’est trop tard. On devait m’emmener là bas avec les autres, je ne sais rien de plus.
Victor : Et qu’est ce que tu vas faire maintenant connard ?
Matt : Toi tu commences à me baver sur les rouleaux !
Victor : Non mais tu es dingue ? Il est cinglé ce mec là ! Il est malade, il est fou ! Il est fou !
Matt : Si tu réussis à t’en tirer, tu diras à Rostov : c’est finit pour toi.
Victor : Barrez vous les mecs, il a une grenade dans la main, il va tout faire sauter ce con ! Tirez vous en vitesse ! Je lui arracherai les couilles !
Bialès : Vous voulez un whisky ?
Odile : Oh, juste un doigt.
Bialès : Vous voulez pas un whisky d’abord ?
Gorgô : Conseiller Théron. Tu t’es rendu utile pour une fois.
Théron : Mes roi et reine, je ne faisais que distraire nos hôtes.
Léonidas : Avant de parler Perse, sache qu’à Sparte tout le monde, même le messager d’un roi, est tenu pour responsable des paroles qu’il prononce. Alors, quel message apportes-tu ?
Messager : De la terre et de l’eau.
Léonidas : Tu as fait tout ce chemin depuis la Perse pour de la terre et de l’eau.
Gorgô : Ne sois pas idiot ou faussement naïf Perse, tu ne peux te le permettre à Sparte.
Messager : Pourquoi cette femme se permet-elle de parler parmi des hommes ?
Gorgô : Parce que seules les femmes de Sparte mettent au monde des hommes vaillants.
Léonidas : Marchons un peu, pour apaiser notre humeur.
Messager : Si vos vies comptent plus à tes yeux que votre destruction, écoute attentivement Léonidas. Xerxès conquiert et contrôle tout ce sur quoi son regard se pose. Son armée est si imposante que la terre tremble sous ses pas, si vaste qu’elle assèche les rivières. Tout ce que le Dieu-roi Xerxès demande c’est ceci : une modeste offrande de terre et d’eau. Un gage de la soumission de Sparte à la volonté de Xerxès.
Léonidas : Soumission ? Je crains que cela pose un problème. Vois-tu, le bruit court que les Athéniens ont déjà rejeté ta demande. Si ces philosophes amateurs de garçons ont trouvé ce courage, alors …
Théron : Nous devons nous montrer diplomate.
Léonidas : … et puis les Spartiates ont leur réputation à défendre.
Messager : Choisis soigneusement les mots que tu vas dire. Ce seront peut-être tes derniers en tant que roi.
*Léonidas pense : De la terre et de l’eau*
Messager : Mais que fais-tu ? Tu es fou !
Léonidas : De la terre et de l’eau. Tu en trouveras autant que tu veux en bas !
Messager : Aucun homme, Perse ou Grec, aucun homme ne menace un messager !
Léonidas : Tu apportes les couronnes et les crânes de rois vaincus dans ma cité de Sparte. Tu insultes ma reine. Tu menaces mon peuple de mort et d’esclavage. J’ai choisis mes mots soigneusement Perse, tu aurais peut-être dû faire de même.
Messager : C’est un blasphème, c’est de la folie !
*Léonidas se retourne vers la reine Gorgô*
Léonidas : De la folie ? Nous sommes des Spartiates !
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Jean-Pierre : Excusez moi, mais, euh, je suis un peu perdu. Euh, vous faites du rally ? Euh, vous êtes boxeur ? Euh, cascadeur ? Vous tournez dans un film historique là ? Oui… C’est qui la vedette du film ? Il est un peu connu ? C’est pour Arte ?
Béatrice : Arrête de les assommer avec toutes ces questions, tu vois bien que ça les fatigue !
Jean-Pierre : Si on peut plus parler hein ! Je vous ennuie ?
Godefroy : Oui certes.
Jean-Pierre : Il va continuer à faire ça longtemps lui ?
Jacquouille : Jour ! Nuit ! Jour ! Nuit ! Jour ! Nuit ! Jour ! Nuit !Jour ! Nuit !
Jean-Pierre : Monsieur La Couille, je vous en prie, à la longue ça devient casse-pieds. Vous êtes sûr que votre ami ne veut pas se mettre à table, c’est gênant.
Godefroy : Il n’est point noblio et n’a point de manière pour mangeayer. Il est déjà heureux de bouloter nos restes. Tiens mon fidèle !
Jacquouille : Oh ! Grand merci seigneur Hubert
Jean-Pierre : Mais là il écrase la pomme de terre sur le tapis ! C’est dégueulasse ! Ca suffit ! Venez à table avec nous.
Godefroy : Ca le gesnerait ! Hein mon Jacouille, tu ne veux pas venir as table avec nous ?
Jacquouille : Ah non, ah non, non seigneur Hubert.
Jean-Pierre : Et bien chez moi tout le monde mange à table. Allez venez, ça me coupe l’appétit.
Jacquouille : Ah non non non non ! Que néni, que néni !
Godefroy : Obéis là ! Oh ! Ton hôte te l’ordonne.
Jean-Pierre : Ce sera plus sympa ! Voilà.
Godefroy : Ma douce et jolie fillote…
Béatrice : Oui, mon beau cousin.
Godefroy : Si tu vis dans ce piètre logis, qui possède nostre château dorénavant ?
Béatrice : Jacques Henri Jacquart, un garçon assez nouveau riche, un petit peu précieux, de la famille de nos anciens métayers.
Godefroy : Quoi, c’est un gueux qui possède le château ?
Jacquouille : Pouah ! Un gueux ?
Béatrice : Quoi un gueux ? Je vous en prie, Jean Pierre aussi est un gueux. Ca l’empêche pas d’être un mari sympa.
Jacquouille : Lui un gueux ? Ah pouah !
Jean-Pierre : Je peux plus manger là, j’ai plus faim ! Non c’est vrai là c’est trop ! Il me donne envie de vomir ! T’as entendu ce que j’ai entendu ?
Béatrice : Non, j’ai rien entendu.
Jean-Pierre : Non mais oh ! Il me crache dessus maintenant ! Tu le vois peut être pas ça ?
Godefroy : Pardonnez ce maroufle, mais il est si triste d’apprendre qu’un gueux possède Montmirail.
Jean-Pierre : Je vois pas pourquoi…
Godefroy : Ma douce et lumineuse fillote, je n’aurai de cesse de réparer cette infamie. Ce Jacquart va vous rendre le château contricus sonnant et trébuchant ! Et s’il refuse, je l’étripe !
Jacquouille : Et on lui pellera le jonc, comme au Bailly du Limousin, qu’on a pendu au beau matin, qu’on a pendu avec ses tripes !
Godefroy : Où sont les poulardes ! J’ai faim !
Jean-Pierre : Pardon, vous allez pendre qui ?
Godefroy : Jacquart, le gueux ! Où sont les veaux, les rôtis, les saucisses ? Où sont les fèves, les pâtés de cerfs ? Qu’on ripaille à plein ventre pour oublier cette injustice ! Il n’y a pas quelques soissons avec de la bonne souavre, un porcelet, une chèvre rôtie, quelques cygnes blancs bien poivrés ? Ces amuses-bouche m’ont mis en appétit !
Angela : Viens, je t’attendais… Quelque chose me dit que tu t’es musclé. Moi je le vois. Je t’attendais pour que tu me donnes un bain. Je suis sale une vraie petite cochonne.
Carolyn : Qu’est ce que tu fais ?
Lester : Rien.
Carolyn : Tu te masturbais !
Lester : Mais non.
Carolyn : Je te dis que si !
Lester : Oh et puis merde vas-y tue moi je m’astiquais le manche. Oui, j’étais en train de me tapper une couenne, de me faire mousser le créateur, d’accord ? De faire guili-guili à monsieur Popol.
Carolyn : Oh, tu es dégoutant !
Lester : Désolé, mais certains d’entre nous bénéficient encore d’une libido en état de marche.
Carolyn : Moi aussi.
Lester : Ah oui ? Visiblement il n’y a que moi qui éprouve le besoin d’y remédier.
Carolyn : Ha ! Ha ! Lester je refuse d’endurer ce calvaire. Ce n’est pas un mariage !
Lester : Tu t’es accommodé de ce mariage durant des années parce que t’étais parfaitement heureuse tant que je me la bouclais. Et bien je vais te dire, il se trouve que j’ai changé et ton nouveau mari se branle un coup quand il a envie de baiser vu que tu m’as fait comprendre qu’il ne fallait pas compter sur toi dans ce domaine.
Carolyn : Oh je vois ! Et tu crois que tu es le seul à être frustré sexuellement peut-être ?
Lester : C’est pas le cas ? Et ben qu’est ce que t’attends ? Moi je suis prêt profites-en !
Carolyn : Ne t’avise pas de poser la main sur moi mon vieux, sinon je demande le divorce tellement vite que t’auras même pas le temps de tourner la tête !
Lester : Et pour quel motif ? Je ne suis pas alcoolique, je n’ai pas baisé d’autres femmes, je te maltraite pas, je t’ai pas tapé dessus, je n’essaie même plus de te toucher depuis que tu m’as clairement fait sentir à quel point j’étais inutile pour pas dire encombrant. Mais je t’ai entretenue pendant que tu faisais tes études, et certaines personnes pourraient en conclure que ca me donne droit à la moitié de tes revenus. Sur ce, n’oublie pas d’éteindre avant de te coucher. Bonsoir !
Terminator : Je veux tes vêtements, tes bottes, et ta moto.
Biker : T’as oublié de dire s’il-te-plaît.
Client : Faîtes lui lâcher prise !
Biker 2 : Enlevez moi ça, enlevez moi ça, enlevez moi ça !!!
Biker : Attrape.
Barman : Je peux pas te laisser lui piquer sa bécane. Descend de là ou je te butte. … Arrête merde, je plaisante pas !