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Pat : Ouais, il aime ça le petit Pouffy, qu’on lui papouille le ventre.
Mary : Ca c’est très surprenant. C’est un chien qui n’aime personne, et en particulier, il déteste les hommes.
Magda : Il n’aime pas les mauvais.
Pat : C’est vrai ?
Magda : Il sent que vous adorez les animaux. Vous les adorez je me trompe ?
Pat : Vous m’avez deviné. Vous savez au Népal, les gens du village m’appellent « Tin Tan Ti », ce qui veux dire « Homme brave qui est aimé par de nombreux animaux, et qui, en retour, les aime aussi ».
Magda : Pouvons nous vous offrir un thé ou quelque chose à boire ?
Pat : Je prendrais bien une mousse si vous avez.
Mary : Nous avons ça. Tiens, Magda, viens donc m’aider dans la cuisine.
Magda : Ah oui, oui, certainement, bien sûr. Tin Tan Ti.
Pat : Pouffy n’aime pas les mauvais hein ? Pouffeur ? Pouffeur ? Pouffeur, déconne pas mon vieux !
Magda : Vous voulez de la mousse de palourde ?
Pat : Non merci, j’aimerais bien du pain perdu s’il y en a.
Magda & Mary : Du pain perdu ?
Pat : Un deux trois. Un deux trois quatre cinq. Un deux trois.
Mary : Pat, vous voulez une blonde ou une brune ?
Pat : N’importe. S’il te plaît Pouffeur, s’il te plaît reste avec moi.
Mary : D’accord, je vous apporte une ordinaire.
Tout est prêt ?
Pat : Ah, ah … Bon chien-chien.
Magda : Nous n’avons que des biscuits fourrés, vous allez vous laisser tenter ?
Oh mais ça alors, oh il l’a emmailloté comme un bébé !
Pat : Et ben, il, il avait comme des frissons.
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Nadine : Comme quoi on ne le dira jamais assez la ceinture ! Un petit clic vaut mieux qu’une grande claque. Alors les enfants ? Qui veut jouer au mort ? Qui a déjà eu un accident de voiture ici ? Toi ? Toi ? Toi ? Personne ? Et ben ca va venir alors ! A 18 ans on commence à boire, et puis on veut impressionner ses amis, et PAF, c’est le platane assuré en revenant de Louvin-la-neuve. Toi Charlotte, tu sais ce que c’est qu’un pare-brise hein ? Et oui ! Si aujourd’hui tu ressembles plus à Albator qu’à Candy, c’est parce que ta maman, elle flûte !
Elle est jolie cette grille non ? Vous savez que le type a eu 137 fractures ! C’est beaucoup 137 fractures hein ? C’est impressionnant non ? Venez voir, venez voir ! Allez approchez-vous ça ne va pas vous mangez hein ! Tu veux monter sur la moto toi ? Ouh je sens que tu veux monter sur la moto !
Charlotte : Ihhhhhhhhhhhh
Nadine : Non tu veux pas ? Bon, c’est pas grave. Allez, prochaine attraction !
Ahhhhhhhhhhhhhh !! Elle est morte la maîtresse !
Maintenant, nous allons faire une minute de silence pour tous ces gens qui sont derrière moi.
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Narrateur : Le temps n’a rien changé, Amélie continue à se réfugier dans la solitude. Elle prend plaisir à se poser des questions idiotes sur le monde ou sur cette ville qui s’étend là sous ses yeux. Combien de couples par exemple sont-ils en train d’avoir un orgasme à cet instant précis.
Amélie : Quinze.
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Couscous : L’autre jour dans une ruelle, il y a un navigué qui cherchait l’embrouille. On s’est battu, à l’arme blanche. Appelle moi si…
Véro : Il est où ?
Couscous : Qui ça ?
Véro : Dégage !
Couscous : Non non c’est pas la peine, arrête !
Véro : Dégage !
Couscous : Non arrête, arrête, non fais pas ça !
Chantent : Et le champagne coulait à flots…
Anne : Tu en as bu un peu…
Bernard : Oui et toi, un peu trop…
Chantent : C’est comme ça…
Bernard : Hein !!! Véro, ça va ? Tu vas pas me croire on était, on était en train de répéter un… Bon, ok, j’ai une maîtresse, et alors ? On va pas en chier une pendule hein ! Tous les grands de ce monde ont une maîtresse hein : Bill Clinton, il a une maîtresse, Mick Jagger, il a une maîtresse, Napoléon, une maîtresse. Même Claude avait une maîtresse.
Véro : Pauvre con.
Bernard : Arrête Véro, c’est mesquin ce que t’es en train de dire. Mais qu’est ce que t’espérais ? Une petite vie étriquée avec un mari sans maîtresse ? Tu mérites mieux que ça mon ange. Non attend ! Véro ! Véro ! Attend ! Attend ! Véro ! Attend, laisse moi t’expliquer ! Véro ! Laisse moi t’expliquer ! C’est un mal entendu ! Véro, on s’en fout de cette fille, c’est une pétasse ! Véro, attend ! Mais c’est rien, c’est juste un petit coup de bite !
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Jean-Pierre : Excusez moi, mais, euh, je suis un peu perdu. Euh, vous faites du rally ? Euh, vous êtes boxeur ? Euh, cascadeur ? Vous tournez dans un film historique là ? Oui… C’est qui la vedette du film ? Il est un peu connu ? C’est pour Arte ?
Béatrice : Arrête de les assommer avec toutes ces questions, tu vois bien que ça les fatigue !
Jean-Pierre : Si on peut plus parler hein ! Je vous ennuie ?
Godefroy : Oui certes.
Jean-Pierre : Il va continuer à faire ça longtemps lui ?
Jacquouille : Jour ! Nuit ! Jour ! Nuit ! Jour ! Nuit ! Jour ! Nuit !Jour ! Nuit !
Jean-Pierre : Monsieur La Couille, je vous en prie, à la longue ça devient casse-pieds. Vous êtes sûr que votre ami ne veut pas se mettre à table, c’est gênant.
Godefroy : Il n’est point noblio et n’a point de manière pour mangeayer. Il est déjà heureux de bouloter nos restes. Tiens mon fidèle !
Jacquouille : Oh ! Grand merci seigneur Hubert
Jean-Pierre : Mais là il écrase la pomme de terre sur le tapis ! C’est dégueulasse ! Ca suffit ! Venez à table avec nous.
Godefroy : Ca le gesnerait ! Hein mon Jacouille, tu ne veux pas venir as table avec nous ?
Jacquouille : Ah non, ah non, non seigneur Hubert.
Jean-Pierre : Et bien chez moi tout le monde mange à table. Allez venez, ça me coupe l’appétit.
Jacquouille : Ah non non non non ! Que néni, que néni !
Godefroy : Obéis là ! Oh ! Ton hôte te l’ordonne.
Jean-Pierre : Ce sera plus sympa ! Voilà.
Godefroy : Ma douce et jolie fillote…
Béatrice : Oui, mon beau cousin.
Godefroy : Si tu vis dans ce piètre logis, qui possède nostre château dorénavant ?
Béatrice : Jacques Henri Jacquart, un garçon assez nouveau riche, un petit peu précieux, de la famille de nos anciens métayers.
Godefroy : Quoi, c’est un gueux qui possède le château ?
Jacquouille : Pouah ! Un gueux ?
Béatrice : Quoi un gueux ? Je vous en prie, Jean Pierre aussi est un gueux. Ca l’empêche pas d’être un mari sympa.
Jacquouille : Lui un gueux ? Ah pouah !
Jean-Pierre : Je peux plus manger là, j’ai plus faim ! Non c’est vrai là c’est trop ! Il me donne envie de vomir ! T’as entendu ce que j’ai entendu ?
Béatrice : Non, j’ai rien entendu.
Jean-Pierre : Non mais oh ! Il me crache dessus maintenant ! Tu le vois peut être pas ça ?
Godefroy : Pardonnez ce maroufle, mais il est si triste d’apprendre qu’un gueux possède Montmirail.
Jean-Pierre : Je vois pas pourquoi…
Godefroy : Ma douce et lumineuse fillote, je n’aurai de cesse de réparer cette infamie. Ce Jacquart va vous rendre le château contricus sonnant et trébuchant ! Et s’il refuse, je l’étripe !
Jacquouille : Et on lui pellera le jonc, comme au Bailly du Limousin, qu’on a pendu au beau matin, qu’on a pendu avec ses tripes !
Godefroy : Où sont les poulardes ! J’ai faim !
Jean-Pierre : Pardon, vous allez pendre qui ?
Godefroy : Jacquart, le gueux ! Où sont les veaux, les rôtis, les saucisses ? Où sont les fèves, les pâtés de cerfs ? Qu’on ripaille à plein ventre pour oublier cette injustice ! Il n’y a pas quelques soissons avec de la bonne souavre, un porcelet, une chèvre rôtie, quelques cygnes blancs bien poivrés ? Ces amuses-bouche m’ont mis en appétit !
TV : … certaines personnes dans notre pays qui sont des déracinés, des marginaux, des, des exclus, des laissés pour compte de toutes sortes, et je sais, je suis persuadé que l’avenir ne peut pas se faire sans, sans eux. Donc il nous faut absolument les accueillir, ouvrir les bras, c’est ça, leur ouvrir les bras, et ça c’est mon combat personnel, ouvrir les bras.
Bernie : Putain et moi !
Bon, euh, j’m'appelle Bernie Noël, euh, j’ai euh, j’ai 29 ans, bientôt 32, je, je suis député !
Euh, je, je possède un chat, euh, Momo. Momo est un chat de, depuis de nombreuses années, mais c’est également un félin.
Voilà : ça c’est Momo, voilà. KI KI KI KI KI KI KI KI KI, voilà. Voilà, c’est, bon c’est un chat qu’est assez facile à, c’est un chat qu’est facile à nourrir, c’est un chat que je peux emmener très facilement dans, dans les déplacements euh…
J’m'appelle Bernie Noël et, et j’aime bien les hyènes. Parce que la hyène, c’est un, c’est un animal dont on parle jamais, alors que c’est un animal qui peut être, qui peut être très important. Parce que moi je trouve que être ami avec une hyène, souvent c’est plus important qu’être ami avec des, avec, avec des vrais amis. C’est, elle vous protège. Si jamais y’a du danger, et ben : ouai ben moi euh, j’suis avec une hyène. Alors là, évidemment, euh…
En fait, mon vrai nom c’est pas Bernie Noël. Bernie c’est, le nom d’la personne qui m’a trouvé et Noël c’est le moment d’l'année où on m’a trouvé. En fait, j’ai jamais réussi à savoir vraiment c’qui, c’qui s’était passé à ma naissance. Ca fait plusieurs années qu’je d’mande mon dossier à la, à l’administration mais, ils m’l'ont jamais donné. Ils, ils disent que c’est pour mon bien. Ils, ils m’connaissent pas mais ils savent c’qui est bien pour moi ! Ah ça c’est quand même pas mal ça ! En tout cas, ça prouve c’que j’ai toujours cru, c’est qu’y'a un mystère sur ma naissance. Mais plus pour longtemps…
Tous : Ma BM – ma BM – ça voulait dire – qu’on était riche – Ma bm…
Dov : Patrick j’t'en prie c’est quoi c’truc là ?
Patrick : C’est un sculpteur grec qui l’a fait, Takis Nahadin chose, j’sais plus quoi. En Californie, c’est de la folie, tout le monde se l’arrache.
Dov : Et ca sert à quoi ?
Patrick : Ca sert a quoi? C’est de l’art, il est con celui là ! Tu sais combien j’l'ai payé ? Quarante plaques. Et en plus cash, parce que c’t'enculé il s’la joue j’suis un artiste, j’prend pas les chèques. Et l’autre il demande à quoi ça sert ? Ca sert à rien, tu mets ça chez toi et puis c’est tout ! Et en plus tu touches pas avec les doigts : déjà la femme de ménage elle me l’a passé au mirror, cette connace elle m’a niqué une lamelle.
Serge : Putain qu’est c’qu’on fout là ? C’est une soirée musée ou quoi là ? Ca fait une heure que tu me casses les couilles avec ton hélice ! On joue !
Eddy : Attendez, c’est quoi les annonces maintenant ?
Yvan : C’est 80 à carreau pour vous
Patrick : MANGE DU CRABE t’as dit 90 !
Yvan : Mais attends, t’es fou ou quoi ? J’ai jamais dit ça ! Putain, j’peux pas jouer avec toi, t’es un malade mental !
Serge : Tiens tiens, prends c’lui là dans ton tarmoul et allez vous faire voir !
Eddy : Voilà, c’est bon ça, voilà !
Serge : Allez c’est qui l’patron ?
Patrick : D’où tu sors cet as toi?
Serge : De mes couilles je sors cet as ! Allez va au bois ! T’as vu ça Eddy, on va s’les manger grave ! On va se les manger grave !
Patrick : De tes couilles ? C’est comme ça que tu parles à ton cousin ?
Yvan : Patrick arrete joue !
Patrick : Attends laisse moi. Qu’est ce que tu faisais chez Willy Journaux?
Serge : Moi ? Rien.
Patrick : Rien ? Espèce d’enculé, j’t'ai vu sortir d’sa boutique ! Qu’est c’qui veut avec toi ? Il t’a proposé d’rentrer dans ses combines? C’est ça ?
Yvan : Attends, quel rapport ? On joue là !
Patrick : Le rapport, c’est que cette tête de zob, c’est mon cousin et qu’j'veux pas qu’il aille en prison ! Tu sais c’qu’il trafique Willy avec son frère ?
Yvan : Ouai.
Patrick : Ils font endosser des chèques sans nom par un pigeon. Le mec il va à la banque, il met son nom sur les chèques et une semaine après, il lui ramène le pognon en liquide. Et eux ils lui laissent une com de merde genre 2%.
Serge : Non 5. (Lire la suite…)
Doug : Sluuuuuuuurp !
Steve : Vous …Haaaaaabitez chez vos parents ?
Doug : Comment ca va princesse ? On peut vous joindre quelque part ?
Steve : Je peux avoir les clés de ton château ?
Doug : Haaaaaa !
Steve : Ohhhhhhh !
Steve : T’as rien ?
Doug : Non.
Steve : Alors on y va !
Victoria : Maintenant, ca suffit, t’es fou ou quoi ?
Homme : Laissez, laissez…
Didier : Ah, permettez je me présente…Didier Pharmaceunberg, producteur !
Femme : Vous avez produit quoi ?
Didier : Euh…Baise moi par les six trous…et…viens que je te fouette sale chienne !
Femme : Oh mais c’est une honte ! C’est honteux !
Didier : D’ailleurs, j’ai un rôle pour toi…
Bernard : Oh, oh, oh, eh, eh, eh ! J’ai pas le droit à un autographe moi ? Je suis moins bien roulé que ma femme moi, hein ?!
Victoria : Arrête t’es minable ! Tas bu ?
Bernard : Meuuh non, j’ai pas bu , j’ai tout vu !
Didier : Ohohohhh, laisse mon pote tranquille ! Oh ! Laissez nous tranquille !
Bernard : Hé, hé hé…
Didier : On se calme !
Bernard : T’façon je m’en fous je me casse, pis je veux plus te voir ! J’veux plus te voir tu te fais sauter par tous les pd du showbizz que tu veux mais je veux plus te voir ! T’entends !?
Muriel : Didier, viens ici !
Didier : Oh ! M’approche plus, hein, salope, hein ! j’vais te dire…Cigarette…Pas Bien ! Que c’est pas bien j’ai dis… Entre nous c’est fini ! T’as compris ?
Serveuse : Cigarette ?
Bernard : Non ! Pas bien !
Bernard et Didier : Le tabac c’est tabou, on en viendra tous à bout !
Bernard : Fais gaffe !
Didier : T’inquiète !
Bernard : Et là, Et là… Qu’est-ce que t’as là ?
Dealer : Qu’est-ce que tu veux ? J’ai des pyramides, des Bar Simpson, des Arlequins…Des kangourous…
Bernard : Des quoi ?
Dealer : Ça c’est fun, les kangourous…
Didier : C’est quoi ?
Bernard : J’sais pas.
Dealer : C’est ça là !
Bernard : C’est…
Didier : Ah j’en veux pas moi.
Bernard : C’est fun…Et…t’as pas des…des Kinopanorama, comme…euh…
Dealer : Non, finish.
Bernard : Oh putain, c’est con parce que…Les Kinopanorama tu vois à 180°degrés sur les côtés, c’est d’enfer !
Didier : C’est super…
Dealer : Alors… j’ai des écrevisses…
Bernard : Ah bon, c’est quoi ?
Dealer : Des écrevisses ? Non, mais ça c’est à donf, tu te fais tout le film en verlan !
Bernard : En Ver… Ah ouaip, fais tomber, fait tomber !
Dealer : Ton teupo là… Y veut tripper comment ?
Didier : Hein ? quoi ? Qu’est-ce…Qu’est-ce qu’y me dit là ?
Bernard : Nan, euh… Tu veux un truc qui te fasse quel effet ?
Didier : Oh ben j’sais pas, chuis pas très en forme, t’as pas un petit truc qui me… J’sais pas…un Guronzan ?
Dealer : Qu’est-ce qu’il dit là ?
Bernard : Ben s’tu veux il est un peu dark, alors si t’avais un trip pas trop smooth, un peu trans quoi.
Dealer : Ah ouaip d’accord, ouaip, je vois … J’ai ça en stock.