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Foule : Est ce que ça va ? Appelez une ambulance !
Chauffeur : Bella, je suis vraiment désolé, j’ai paniqué …
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Voyou : Il t’a laissé entrer toi ? Tu connais le mec qui était à l’entrée ?
Voyou : Eh la pine d’oiseau du veux crever ?
Voyou : Eh laisse le moi !
Oh Dae-su : Pine d’oiseau. C’est la première fois que j’entends ça. On n’apprend pas les insultes à la télé. 15 ans à se battre tout seul, est-ce que ça sert à quelque chose ?
Ca sert.
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John : J’suis mort.
Hans : On joue toujours les cowboys, monsieur McClane ? Les Américains sont incroyables, mais cette fois John Wayne ne s’éloignera pas dans le soleil couchant avec Grace Kelly.
John : C’est Garry Cooper connard…
Hans : Assez plaisanté.
John : Je sais pas qui fait le plus cowboy de nous deux Hans.
Hans : Ouais… Mais qu’est ce que vous m’avez dit la dernière fois ? Yippee Kay pauvre con.
John : Holly ! Et bon voyage Hans.
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Ah !
Angela : Oh ! Mais qu’est-ce qui te prend enfin chéri, je vais avoir un bleu moi !
Cassidy : J’ai mal à la main tu comprends. Je l’ai pas fait exprès.
Angela : Oh excuse moi.
Les deux : Ah !
Matt : Toi, fous le camp.
Angela : Victor ! Victor !
Matt : Où est Rostov ?
Cassidy : Je sais pas ! Je sais pas où il est Rostov ! Y-a personne qui sait où le trouver.
Matt : Où est Rostov ?
Victor : Qu’est ce qui se passe ici ? Qu’est ce que c’est ce bordel ?
Cassidy : J’obéis aux ordres !
Victor : Toi tu vas voir ça !
Matt : Si tu te pointes encore, tu peux être sûr que tu repars avec la bite dans un tupperware !
Victor : Ah, au revoir alors.
Matt : Dis moi où aura lieu le prochain coup.
Angela : Victor, s’il te plait ! Dépêche toi, il a un grand couteau et il va le tuer ! Mais qu’est ce que tu fous nom de Dieu ! Tu veux un mort dans la baraque ? Allez, vite, on va le venger !
Victor : J’arrive, j’arrive, on va le virer, t’inquiètes pas !
Angela : Mais dépêchez vous !
Cassidy : Je sais rien mon vieux, et puis c’est trop tard. On devait m’emmener là bas avec les autres, je ne sais rien de plus.
Victor : Et qu’est ce que tu vas faire maintenant connard ?
Matt : Toi tu commences à me baver sur les rouleaux !
Victor : Non mais tu es dingue ? Il est cinglé ce mec là ! Il est malade, il est fou ! Il est fou !
Matt : Si tu réussis à t’en tirer, tu diras à Rostov : c’est finit pour toi.
Victor : Barrez vous les mecs, il a une grenade dans la main, il va tout faire sauter ce con ! Tirez vous en vitesse ! Je lui arracherai les couilles !
Gorgô : Conseiller Théron. Tu t’es rendu utile pour une fois.
Théron : Mes roi et reine, je ne faisais que distraire nos hôtes.
Léonidas : Avant de parler Perse, sache qu’à Sparte tout le monde, même le messager d’un roi, est tenu pour responsable des paroles qu’il prononce. Alors, quel message apportes-tu ?
Messager : De la terre et de l’eau.
Léonidas : Tu as fait tout ce chemin depuis la Perse pour de la terre et de l’eau.
Gorgô : Ne sois pas idiot ou faussement naïf Perse, tu ne peux te le permettre à Sparte.
Messager : Pourquoi cette femme se permet-elle de parler parmi des hommes ?
Gorgô : Parce que seules les femmes de Sparte mettent au monde des hommes vaillants.
Léonidas : Marchons un peu, pour apaiser notre humeur.
Messager : Si vos vies comptent plus à tes yeux que votre destruction, écoute attentivement Léonidas. Xerxès conquiert et contrôle tout ce sur quoi son regard se pose. Son armée est si imposante que la terre tremble sous ses pas, si vaste qu’elle assèche les rivières. Tout ce que le Dieu-roi Xerxès demande c’est ceci : une modeste offrande de terre et d’eau. Un gage de la soumission de Sparte à la volonté de Xerxès.
Léonidas : Soumission ? Je crains que cela pose un problème. Vois-tu, le bruit court que les Athéniens ont déjà rejeté ta demande. Si ces philosophes amateurs de garçons ont trouvé ce courage, alors …
Théron : Nous devons nous montrer diplomate.
Léonidas : … et puis les Spartiates ont leur réputation à défendre.
Messager : Choisis soigneusement les mots que tu vas dire. Ce seront peut-être tes derniers en tant que roi.
*Léonidas pense : De la terre et de l’eau*
Messager : Mais que fais-tu ? Tu es fou !
Léonidas : De la terre et de l’eau. Tu en trouveras autant que tu veux en bas !
Messager : Aucun homme, Perse ou Grec, aucun homme ne menace un messager !
Léonidas : Tu apportes les couronnes et les crânes de rois vaincus dans ma cité de Sparte. Tu insultes ma reine. Tu menaces mon peuple de mort et d’esclavage. J’ai choisis mes mots soigneusement Perse, tu aurais peut-être dû faire de même.
Messager : C’est un blasphème, c’est de la folie !
*Léonidas se retourne vers la reine Gorgô*
Léonidas : De la folie ? Nous sommes des Spartiates !
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Terminator : Je veux tes vêtements, tes bottes, et ta moto.
Biker : T’as oublié de dire s’il-te-plaît.
Client : Faîtes lui lâcher prise !
Biker 2 : Enlevez moi ça, enlevez moi ça, enlevez moi ça !!!
Biker : Attrape.
Barman : Je peux pas te laisser lui piquer sa bécane. Descend de là ou je te butte. … Arrête merde, je plaisante pas !
Vincent : Franckie, dis à Lucas de sortir et d’aller faire tu sais quoi.
Vincent : Vous savez qui je suis, monsieur Worley ?
Mr Worley : Non, je ne sais pas. Qui êtes-vous ?
Vincent : Je suis l’antéchrist. Je ne suis pas de très bonne humeur. Vous direz aux anges du ciel que vous n’aviez jamais vu le mal aussi nettement incarné que dans l’homme qui vous a exécuté. Je m’appelle Vincent Coccotti, je suis le conseiller de monsieur Blue Lou Boyle, l’homme que votre fils a cambriolé. Je sais que vous étiez dans la police, alors j’imagine que vous avez entendu parler de nous, je me trompe pas ?
Mr Worley : J’ai entendu parler de Boyle.
Vincent : Tant mieux. J’espère que ca va vous épargnez les fausses questions dans le genre : « Mais qu’est ce qu’il me raconte comme conneries celui là ? ». On va jouer aux questions réponses, et au risque de répéter ce que j’ai déjà dit je vous en prie, que vos réponses soient plausibles. Vous voulez une Chesterfield ?
Mr Worley : Non.
Vincent : J’ai un fils moi aussi, et il a le même age que le votre. Alors j’imagine comme tout ça doit être pénible pour vous, mais Clarence et sa petite pouffiasse ont bien cherché ce qu’il leur arrive. Je vous supplie donc de ne pas les suivre sur cette voie. Ca vous réconfortera surement de savoir que vous n’avez aucun choix.
Mr Worley : Je vous aiderais avec le plus grand plaisir mais j’ai pas vu Clarence.
Vincent : Vous voyez ça ? Ca fait mal hein ? Un gnon en plein dans le nez. Oh là là, ça bousille, la douleur monte jusqu’au cerveau, on a les yeux qui pissent des larmes, c’est pas drôle. Mais ce qui risque de suivre est encore moins drôle. Je viens de vous offrir ce que j’ai de plus agréable. On a interrogé vos voisins, ils ont vu une cadillac, mauve plutôt claire, la cadillac de votre fils Clarence, garée devant chez vous hier matin. Monsieur Worley, avez-vous vu votre fils ?
Mr Worley : Oui je l’ai vu.
Vincent : Je ne sais pas trop ce qu’il a pu vous raconter au juste alors, au cas où il resterait des ombres je vais éclairer les passages obscurs : la pute qui traîne avec votre fils a un mac, qui est un de mes associés. En dehors de ses pouffes et de ses autres activités il travaille pour moi en tant qu’intermédiaire. Il semblerait que cette sale petite connasse est appris qu’on avait une affaire sur le feu, parce que votre cow-boy de fils et cette salope se sont amenés flingues au vent, ont tiré à tout va, et ils ont mitraillé tous les mecs qui étaient là.
Mr Worley : Mais de quoi est-ce que vous parlez ?
Vincent : Je vous parle d’un massacre. Ensuite ils ont piqué une pleine valise de drogue, et ils se sont taillés. Ils auraient pu s’en tirer mais votre rejeton, petit con qu’il est, a laissé son permis de conduire à côté du cadavre *rires*
Mr Worley : Je ne vous crois pas du tout.
Vincent : Oui, ça, ça n’a aucune importance. Ce qui est beaucoup plus important, c’est que moi je vous crois. Où sont-ils allés monsieur Worley ?
Mr Worley : En lune de miel.
Joe : Jess, deux r’montants pour ces mad’moiselles.
(OFF) Sam : Ouais on faisait un duo d’enfer tous les deux : je faisais le book et Nicky faisait rentrer le fric. Les vieux nous adoraient, y’avait de quoi! On leur rapportait un max. Comment il faisait rentrer le fric ? Cherchez pas à savoir.
Nikky : T’as payé?
Franky : Bah, ouais comme d’habitude.
Nicky : Ah ouais et le putain de fric alors tu le vois toi ?
Sam : Bonsoir.
Nicky : C’est quoi ton pari ?
Franky : J’ai joué neuf
Nicky : C’était huit.
Franky : Me charrie pas, tu rigoles ! C’était neuf, j’ai misé neuf !
Nicky : C’était huit. Oh Ace, dis lui pour le match des bears.
Sam : Huit.
Nicky : Ah! Si lui est pas au courant, personne est au courant. J’tavais dis qu’c'était huit.
Franky : Mais alors pourquoi j’ai misé neuf ?
Nicky : Parce que t’es une bille.
Joe : Ouai ça s’est réglé.
Sam : Excusez moi.
Joe : Quoi ?
Sam : Ce stylo, c’est à vous ?
Joe : Ouais il est à moi.
Sam : Alors.
Joe : Pourquoi ?
Sam : Pour rien, c’est un beau stylo, j’me demandais à qui il était, j’pensais que c’était à vous, j’voulais pas qu’on vous le vole.
Joe : Merci bien. Le putain de stylo, tu te le prends et tu t’le carres dans le trou du cul, tête de noeud, Pauv’ con.
Sam : J’voulais juste…
Joe : Tu l’as vu c’t'enflure ?
Client : Fais gaffe Joe ! Fais gaffe Joe ! Joe ! Joe !
(…)
Nicky : Oh c’est quoi? T’entends pas une fillette Franky? Ace, t’entends une fillette? C’est une ptite morveuse qui pleurniche là. Où il est le gros malabar qui disait à mon pote de s’le carrer dans le trou du cul? Hein où il est? Hein?
Sam : Nicky, calme toi.
(OFF) Sam : Pendant que je m’demandais pourquoi ce type avait dit c’qu’il v’nait d’dire, Nicky l’a frappé. Un mec pouvait être dix fois plus costaud que lui, Nicky lui rentrait dans le lard. T’attaques Nicky à coups de poings, il sort une batte de baseball. Tu l’attaques au couteau? Il sort un flingue. Et si tu l’attaques au flingue, t’as intérêt à le tuer, parce qu’il va revenir à la charge, jusqu’à ce qu’il y en ait un des deux qui soit mort.
Maximus : Mon nom est Maximus Decimus Meridius, commandant en chef des armées du nord, général des légions Phoenix, fidèle serviteur du VRAI empereur : Marc-Aurèle. Père d’un fils assassiné, époux d’une femme assassinée et j’aurais ma vengeance dans cette vie, ou dans l’autre.
Quintus : …ARMES !!!