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Le Bon : Avec ça tu gagnera du temps.
La Brute : A deux vous ferez encore plus vite. Creusez ! Alors tu creuses ?
Le Bon : Vous ne trouverez rien, même en creusant toute une année !
La Brute : Pourquoi ?
Le Bon : Ben tout simplement parce que les dollars ne sont pas là dedans.
Le Truand : Fils de !
Le Bon : Tu ne croyais tout de même pas que j’aurais confiance en toi ? C’est une très jolie somme 200 000 $… Il faut les gagner.
La Brute : Comment ?
Le Bon : Le nom, je l’écrirai ici. Un bloc-pistolet.
Le Truand : Fumier ! Il aurait pu me tuer ! Quand l’as-tu déchargé ?!
Le Bon : Cette nuit. Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont le pistolet chargé, et ceux qui creusent. Toi, tu creuses.
Le Truand : Où ? Inconnu ?! Mais il y a pas de nom sur cette tombe !
Le Bon : Là non plus Tuco. Carson avait seulement dit : la tombe sans nom près de celle de Stanton. Creuse.
Le Truand : Blondin ! Les voilà les dollars ! Les voilà les dol… Tu veux rigoler là, Blondin ? Tu veux me faire une farce avoue-le.
Le Bon : Ça c’est pas une farce, c’est une corde. Dépêche toi de passer ta tête là dedans Tuco. Alors Tuco, comme à la belle époque ! Une moitié à toi, et l’autre à moi.
Le Truand : Hey, mais, écoute moi ! Ecoute ! Blondin ! Mais, qu’est-ce…
Le Bon : Sans rancune hein.
Le Truand : Blondin ! Blondin ! Blondin ! Blondin ! Blondin ! Blon… Blondin. Blondin. Blondin. Blondin ! Ecoute, Blondin ! Blondin ! Hey Blondin ! Tu veux que je te dise ? Tu es le plus grand dégueulasse que, que, que la terre ait jamais porté !
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Doody : Oh voilà Zuko ! Je rêve c’est pas vrai !
Sonny : Tu es sûr que c’est lui ?!
Kenickie : Hey Danny !
Doody : Dani c’est un sportif à présent ?
Sonny : Hey Danny tu vas à un bal masqué ? Dis donc tu veux faire concurrence à Tom ou te foutre de lui ?
Danny : Pendant que vous piquiez des cabochons de radiateurs, moi les gars je m’entraînais.
Sonny : Oh ! Zuko sportif ! On aura tout vu, je crois rêver !
Danny : Tu rêves pas.
Kenickie : Tu nous laisses tomber alors ?
Danny : Enfin, vous pouvez pas rester toute votre vie des suiveurs. Allez, soyez pas inquiets, on restera toujours des copains, seulement, il y a Sandy et pour elle il y a rien que je ferai pas c’est tout. Sandy !
Sandy : Vends moi tes salades, mec ! Read the rest of this entry »
Foule : Est ce que ça va ? Appelez une ambulance !
Chauffeur : Bella, je suis vraiment désolé, j’ai paniqué …
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Pat : Ouais, il aime ça le petit Pouffy, qu’on lui papouille le ventre.
Mary : Ca c’est très surprenant. C’est un chien qui n’aime personne, et en particulier, il déteste les hommes.
Magda : Il n’aime pas les mauvais.
Pat : C’est vrai ?
Magda : Il sent que vous adorez les animaux. Vous les adorez je me trompe ?
Pat : Vous m’avez deviné. Vous savez au Népal, les gens du village m’appellent « Tin Tan Ti », ce qui veux dire « Homme brave qui est aimé par de nombreux animaux, et qui, en retour, les aime aussi ».
Magda : Pouvons nous vous offrir un thé ou quelque chose à boire ?
Pat : Je prendrais bien une mousse si vous avez.
Mary : Nous avons ça. Tiens, Magda, viens donc m’aider dans la cuisine.
Magda : Ah oui, oui, certainement, bien sûr. Tin Tan Ti.
Pat : Pouffy n’aime pas les mauvais hein ? Pouffeur ? Pouffeur ? Pouffeur, déconne pas mon vieux !
Magda : Vous voulez de la mousse de palourde ?
Pat : Non merci, j’aimerais bien du pain perdu s’il y en a.
Magda & Mary : Du pain perdu ?
Pat : Un deux trois. Un deux trois quatre cinq. Un deux trois.
Mary : Pat, vous voulez une blonde ou une brune ?
Pat : N’importe. S’il te plaît Pouffeur, s’il te plaît reste avec moi.
Mary : D’accord, je vous apporte une ordinaire.
Tout est prêt ?
Pat : Ah, ah … Bon chien-chien.
Magda : Nous n’avons que des biscuits fourrés, vous allez vous laisser tenter ?
Oh mais ça alors, oh il l’a emmailloté comme un bébé !
Pat : Et ben, il, il avait comme des frissons.
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Voyou : Il t’a laissé entrer toi ? Tu connais le mec qui était à l’entrée ?
Voyou : Eh la pine d’oiseau du veux crever ?
Voyou : Eh laisse le moi !
Oh Dae-su : Pine d’oiseau. C’est la première fois que j’entends ça. On n’apprend pas les insultes à la télé. 15 ans à se battre tout seul, est-ce que ça sert à quelque chose ?
Ca sert.
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Nadine : Comme quoi on ne le dira jamais assez la ceinture ! Un petit clic vaut mieux qu’une grande claque. Alors les enfants ? Qui veut jouer au mort ? Qui a déjà eu un accident de voiture ici ? Toi ? Toi ? Toi ? Personne ? Et ben ca va venir alors ! A 18 ans on commence à boire, et puis on veut impressionner ses amis, et PAF, c’est le platane assuré en revenant de Louvin-la-neuve. Toi Charlotte, tu sais ce que c’est qu’un pare-brise hein ? Et oui ! Si aujourd’hui tu ressembles plus à Albator qu’à Candy, c’est parce que ta maman, elle flûte !
Elle est jolie cette grille non ? Vous savez que le type a eu 137 fractures ! C’est beaucoup 137 fractures hein ? C’est impressionnant non ? Venez voir, venez voir ! Allez approchez-vous ça ne va pas vous mangez hein ! Tu veux monter sur la moto toi ? Ouh je sens que tu veux monter sur la moto !
Charlotte : Ihhhhhhhhhhhh
Nadine : Non tu veux pas ? Bon, c’est pas grave. Allez, prochaine attraction !
Ahhhhhhhhhhhhhh !! Elle est morte la maîtresse !
Maintenant, nous allons faire une minute de silence pour tous ces gens qui sont derrière moi.
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Chuckie : Qu’est ce qu’il y a ? Y a un problème ?
Clark : Non non non non il n’y a pas de problème non. J’espérais que tu serais peut-être en mesure de me donner une idée de l’évolution de l’économie de marché dans les colonies du Sud. Moi je soutiens que, préalablement à la guerre révolutionnaire, les modalités économiques particulières, dans les colonies du sud, pouvaient être définies avec justesse par les termes de précapitalisme …
Chuckie : Une minute. J’aimerais dire un truc …
Will : C’est normal que tu soutiennes ça, t’es un étudiant de première année et tu viens de finir le livre d’un petit historien marxiste, Pitt Garrison probablement, et tu resteras convaincu jusqu’à ce que dans un mois tu lises James Lemon, et là tu soutiendras que l’économie en Virginie et en Pennsylvanie était animée d’un esprit d’entreprise tout à fait capitaliste déjà en 1740, et ça durera jusqu’à ce que l’an prochain, tu régurgites Gordon Wood et ses opinions sur la pré-révolution et son utopie, et les effets bénéfiques au capital de toute mobilisation.
Clark : Je ne pense pas que je le ferais parce que Wood a tendance à sous-estimer l’impact…
Will : Wood a tendance à sous-estimer l’impact des distinctions sociales fondées sur la fortune, en particulier la fortune héritée. Tu as lu ça dans Vickers ? Travail dans le comté des sexes, page 98. Ouais, je l’ai lu aussi, tu allais nous régurgiter tous les bouquins. Tu n’as pas une idée personnelle sur le sujet ? Alors c’est ça ton truc, tu arrives dans ce bar, tu débites d’obscurs passages de quelques bouquins et tu prétends que ce sont tes idées à toi ? Et tu fais tout ça juste pour impressionner une fille et embarrasser mon ami ? Ce qui est triste pour un type comme toi, c’est qu’à 50 ans tu vas commencer à penser par toi-même et tu vas découvrir le fait qu’il y a deux certitudes dans ta vie : primo, t’es pas fait pour penser. Et deuxio, tu as paumé 150 000 dollars pour un enseignement que tu aurais trouver pour un dollar cinquante d’amende de retard à la bibliothèque municipale.
Clark : Oui mais moi j’aurais mon diplôme, et tu serviras à mes gosses des frites dans un drive-in quand je les emmènerai skier à la montagne.
Will : Oui peut-être. Mais au moins j’aurai ma personnalité. Mais si ça te pose un problème tout ça, on peut faire quelques pas dehors et régler l’affaire entre nous.
Clark : Non vieux, y a aucun problème. C’est cool.
Will : C’est cool ? Cool.
Billy : Ouais, tu peux le dire que c’est cool.
Chuckie : Ouais c’est ça la ramène plus !
Billy : Il en a dans le cigare, le copain.
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Maître Folace : Charmante soirée, n’est ce pas ? Vous savez combien ça va nous coûter ? Deux milles francs ! Nouveau.
Fernand : Je gaspille, et y en a d’autres qui collectent. Qu’est ce que vous dîtes de ça ? Hein ?
Jean : Faudra encore des sandwiches à la purée d’anchois. Ils partent bien, ceux là !
Fernand : Les voilà vos encaissements en retard. Et aggravés d’une amende en plus.
Les Volfoni ont essayé de me flinguer. Oui Maître.
Maître Folace : C’est pourtant pas leur genre.
Fernand : Oui bah ça prouve qu’ils ont changé de genre, voilà !
Jean : Quand ça change, ça change, faut jamais se laisser démonter.
Maître Folace : Vous croyez qu’ils oseraient venir ici ?
Fernand : Les cons ça ose tout, et c’est même à ça qu’on les reconnaît.
Raoul : Mes salutations. Les mains sur la table ! Je vous préviens qu’on a la puissance de feu d’un croiseur et des flingues de concours.
Jean : Si ces messieurs veulent bien me les confier.
Raoul : Quoi ?
Patricia : Ah, mes enfants ! Nous sommes en panne de sandwiches. Tu sais mon Oncle, si tes amis veulent danser ?
Jean : Allons vite Messieurs, quelqu’un pourrait venir, on pourrait se méprendre et on jaserait. Nous venons déjà de frôler l’incident.
Fernand : Tu sais ce que je devrais faire ? Rien que pour le principe.
Raoul : Tu ne trouves pas que c’est un peu rapproché ?
Paul : Quand je te disais que cette démarche ne s’imposait pas. Au fond, maintenant, les diplomates prendraient plutôt le pas sur les hommes d’action. L’époque serait aux tables rondes et à la détente, hein ? Qu’est ce que t’en penses ?
Fernand : Je dis pas non.
Raoul : Mais dis donc, on est quand même pas venu pour beurrer les sandwiches ?
Paul : Pourquoi pas ? Au contraire, les tâches ménagères ne sont pas sans noblesse. Surtout lorsqu’elles constituent le premier pas vers des négociations fructueuses, hein ? Merci.
Fernand : Maître Folace, vous devriez vous occupez des motifs de fâcheries.
Paul : Oh, monsieur Fernand.
Fernand : Je connais la vie monsieur Paul.
Mais pour en revenir au travail manuel là, ce que vous disiez est finement observé, et puis, ça reste une base.
Raoul : Ah, ça c’est bien vrai … Si on bricolait plus souvent, on en aurait moins la tête aux bêtises hein.
Amie de Patricia : Jean ! Mais où il est Jean ?
Fernand : Qu’est ce que vous lui voulez ?
Amie de Patricia : Y a plus de glace, et y a plus de Scotch !
Fernand : Maître Folace, donnez lui des jus de fruits, allez !
Amie de Patricia : Pas jus de fruits, du Scotch, vos jus de fruits, vous pouvez vous les …
Maître Folace : Allons allons mademoiselle !!! L’oncle de Patricia vous dit qu’il n’y a plus de Scotch, un point c’est tout.
Amie de Patricia : Vous n’avez qu’à en acheter. Avec ça !
Maître Folace : Touche pas au grisbi, salope !
Paul : De l’alcool à cet âge là … Enfin …
Fernand : Non mais c’est un scandale.
Raoul : Nous par contre, on est des adultes. On pourrait peut-être s’en faire un petit ?
Fernand : Ca le fait est. Maître Folace.
Maître Folace : Seulement, le tout venant a été piraté par les mômes. Qu’est ce qu’on fait ? On se risque sur le … le bizarre ? Ca va rajeunir personne.
Raoul : Ah nous voilà sauvés.
Maître Folace : Sauvés, faut voir.
Jean : Tiens, vous avez sorti le vitriol ?
Paul : Pourquoi vous dîtes ça ? Il a pourtant l’air honnête.
Fernand : Sans être franchement malhonnête, au premier abord comme ça, il a l’air assez curieux.
Maître Folace : Il date du Mexicain, du temps des grandes heures. Seulement on a du arrêter la fabrication, il y a des clients qui devenaient aveugles, alors ça faisait des histoires. Allez !
Raoul : Ah, faut reconnaître. C’est du brutal.
Paul : Vous avez raison, il est curieux.
Fernand : J’ai connu une polonaise qui en prenait au petit déjeuner. Faut quand même admettre que c’est plutôt une boisson d’homme.
Raoul : Tu sais pas ce qu’il me rappelle ? Cette espèce de drôlerie qu’on buvait dans une petite taule de Bienoa, pas tellement loin de Saïgon. Les volets rouges, et la taulière, une blonde comme ac. Comment qu’elle s’appelait non de Dieu ?
Fernand : Lulu la nantaise.
Raoul : T’as connu ?
Paul : J’y trouve un goût de pomme.
Maître Folace : Y en a.
Raoul : Et ben c’est devant chez elle que Lucien le cheval s’est fait dessoudé.
Fernand : Et par qui ?
Raoul : Bah voilà que j’ai plus ma tête.
Fernand : Par Teddy de Montréal, un fondu qui travaillait qu’à la dynamite.
Raoul : Tout une époque.
Maître Folace : D’accord, d’accord. Je dis pas qu’à la fin de sa vie, Joe le trembleur il avait pas un peu baissé. Mais n’empêche que pendant les années terribles, sous l’occup, il buttait à tout va. Il a quand même décimé tout une division de Panzer !
Raoul : Il était dans les chars ?
Maître Folace : Non, dans la limonade ! Suis ce qu’on te dit !
Raoul : Mais j’ai plus ma tête, je te dis …
Maître Folace : Il avait son secret le Lou.
Raoul : C’est où ?
Jean : A droite au fond du couloir.
Maître Folace : Et et et et … 50 kilos de patates, un sac de sciure de bois, il te sortait 25 litres de trois étoiles à l’alambic. Un vrai magicien le Lou. Et c’est pour ça que je me permets d’intimer l’ordre à certain salisseurs de mémoire, qu’ils feraient mieux de fermer leur claque merde !
Paul : Vous avez beau dire. Y a pas seulement que de la pomme, y a autre chose. Ca serait pas des fois de la betterave ?
Fernand : Si. Y en a aussi.
Fernand : Je mangerais bien quelque chose de consistant moi.
Raoul : Dis donc, elle est maquée à un jaloux ta nièce ? Je lui fais un brin de causette. Le genre réservé, tu me connais. Douce et tendre. Voilà tout d’un coup qu’un petit cave est venu me chercher. Les gros mots et tout.
Fernand : Monsieur Antoine ! Il suffit pas de lui faire franchir les portes faut peut être le faire passer à travers !
Jean : Je serais pas étonné qu’on ferme.
Morty : Je suis pas heureux. On contrôle plus la situation. Tu t’en occupes ou je m’occupe de toi.
Daniel Craig : Morty, Kinkee a fait une overdose, c’est tout. Charlie s’est réveillé, l’a trouvé déjà froid, a paniqué sec et s’est barrée à Brayton. Kody va la retrouver ! Ecoute, je vais demander un peu d’eau chaude pour le thé, il est froid.
Freddy : Morty ! C’est toi vieux ? Où t’étais depuis tout ce temps ? Hein ? Ca alors ! Qu’est ce que tu fous dans ce putain de quartier ?
Morty : Salut Freddy.
Freddy : Alors, Monsieur Mortimer ! Eh Morty, t’aurais pas quelques petits billets ? Au nom du bon vieux temps et de tout ça ? Ca a l’air d’aller les affaires pour toi !
*Morty sort une liasse de billet de sa poche*
Oh putain il est plein aux as le mec ! Ouais, tu pourrais pas aller jusqu’à cinq ? Hein ? Vieux ?
Morty : On va aller jusqu’à dix. Dix, ça fait un joli compte bien rond.
Dis toi que j’ai fait de la taule pendant dix putains d’années !
Ca te va, ou tu veux un feu rouge ?
Daniel Craig : Arrête Morty. Non Morty arrête, il a son compte !
Morty : C’est à moi de dire s’il a son compte.
Daniel Craig : Morty qu’est ce que tu fous ? Qu’est ce que tu vas faire ?
Morty : Mais oublions ça Monsieur Hurst, et buvons une bonne tasse de thé !
Daniel Craig : Mais enfin putain !
Morty : J’suis désolé pour tout ça. Je vais me mettre au vert quelques temps.
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Donald : C’est probablement le courant qui revient.
Lex : C’est quoi ça ? Où est la chèvre ? Il nous abandonne ! Il nous abandonne !
Alan : Mais où il va comme ça celui là ?
Ian : Quand faut y aller, faut y aller !
Lex : Professeur Grant ?
Ian : Putain j’en ai marre d’avoir toujours raison !
Alan : Ne faites plus un seul geste. Sa vision est basée sur le mouvement. Eteins la torche ! Eteins la torche !
Tim : Eteins la lampe ! Eteins !
Lex : Excuse moi !
Tim : Eteins ! Eteins ! Pourquoi tu l’as allumée ? Eteins la lampe !
Alan : Hey !
Ian : Hey ! Hey ! Hey ! Hey !
Alan : Cessez de bouger !
Ian : Allez chercher les gosses !
Alan : Lâchez cette torche !
Donald : Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous…
Alan : Alex attends, je vais t’aider ! Tim t’es touché ? Tu peux bouger ?
Tim : Je suis coincé. Le siège bloque mes pieds.
Alan : Je vais te dégager tout de suite. Allez avance, attends. Tim, Tim ? Ne bouge plus ! Il ne nous verra pas si on ne bouge plus. Viens par là. Lex, Lex, me serre pas comme ça, tu m’étrangles. Attrape le cable !
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